A la médiathèque, retrouver avec bonheur une ancienne voisine avec qui on papote un instant pour se donner des nouvelles depuis le temps qu’on ne s’est pas vu.
Alors qu’elle tend ses livres pour les rendre à la bibliothécaire, celle-ci lui demande si elle a lu mes livres. Devant son étonnement et son intérêt pour mon travail, la bibliothécaire va en chercher un dans un rayon.
Je me rends compte alors que Ma vie était un fusil chargé, Aussitôt que la vie et Avec la vieille dame sont empruntés. Il reste Nous et Journal d’une seconde vie.
Alors cette voisine emprunte ce dernier livre.
Elle s'installe à une table, l'ouvre et se met à lire.
PS. Si les liens sont inaccessibles, vous pouvez faire une recherche sur internet pour trouver les sites où commander mes livres ou bien vous adresser à votre librairie préférée.
Par ailleurs, plusieurs médiathèques ont désormais inscrit "Ma vie était un fusil chargé" à leur catalogue. N'hésitez pas à en suggérer l'achat à votre médiathèque ou à me la faire connaître pour que je puisse prendre contact avec les bibliothécaires.
ma vie était un fusil chargé - Page 2
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Petits bonheurs les uns à la suite des autres.
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Déjà septembre.
Déjà septembre… Autour de la maison, les bruits rituels vont se faire entendre : l’animation de la rue le matin, le midi, le soir puis plus rien jusqu’au matin, les enfants qui vont à l’école, les bus qui amènent et ramènent les plus grands du collège, le silence de l’après-midi, entre deux et quatre.
Justement, l’après-midi, écrire ce livre déjà bien commencé mais qui ne sera terminé que d’ici un an ou deux au moins, tout en continuant à s’occuper de « Ma vie était un fusil chargé », tout seul et tout petit en ce moment de rentrée littéraire, qu’il faut aider encore en posant sur son chemin des petits cailloux, comme on a compris, grâce au Petit Poucet, qu’il fallait le faire sur tous les chemins du monde.
D'ailleurs, voici un petit caillou qui en parle ! Merci !